En 1988 le Maire Émile Maurice a célébré le centenaire de la Ville (1888-1988). Outre les festivités culturelles auxquelles ont été associées toutes les forces vives de la Ville, deux actes forts étaient posés pour assurer le lien intergénérationnel :
LE JARDIN DU CENTENAIRE, où un enfant de l’école élémentaire a planté en 1988 l’arbre du centenaire. Si l’arbre est aujourd’hui disparu, le jardin est devenu un lieu emblématique prisé par les photographes de mariages et les pique-niques familiaux. A l’origine ce terrain était un marécage qui recevait les eaux pluviales de la ville par un exutoire. Ce terrain a été assaini puis aménagé pour devenir un jardin.
LES BOUGIES DU CENTENAIRE.
L’idée du Maire Émile MAURICE était, chaque année lors de la fête patronale, de faire apposer par un élève sur les bougies une plaque commémorative. Ainsi l’âge de la commune se serait retransmis de génération en génération. Cette œuvre a été conçue par un artiste de la commune M. TISSERAND Lucien.
Durant les années qui ont suivi cette cérémonie, le Jardin a été aménagé avec un petit pont souvent pris comme cadre pour les photos de mariage.
En 1995 des professeurs de l’école maternelle « Jeanne Merton » montent avec leurs classes un projet /ville intitulé « VILLES ET VOLUMES » : deux œuvres sont implantées suite au travail des enseignantes.
D’abord, un cadran solaire que l’on trouve à l’entrée du Jardin puis, le « neg mawon »
La première classe est chargée de réaliser la maquette grandeur nature d’un CADRAN SOLAIRE. Le deuxième projet, également exécuté 1995 par les enfants est une effigie métallique en deux dimensions : « le neg mawon ». Il se situe dans le jardin de l’Agora.